L'injection IV accidentelle est réelle : avez-vous déjà entendu parler de « Toux de Tren » ? Les culturistes souffrent régulièrement de cet événement indésirable après des injections de stéroïdes
Mythe sur la sécurité des injections IM - C'est la preuve que l'injection intramusculaire comporte un risque important de toucher un vaisseau sanguin avec des conséquences graves 1 fois sur 20!
Depuis près d'un an, j'affirme avec force que les blessures causées par les vaccins sont liées à des injections intraveineuses accidentelles . La "Toux de Tren" est la preuve que je cherchais. Cela prouve que les injections intraveineuses accidentelles sont une réalité importante, une réalité qui n'est pas infime contrairement à ce que pense la communauté médicale. Cette preuve, très largement connue dans le milieu du Bodybuilding - confirme davantage la théorie de Bolus que j'ai développée tout au long de mes articles ces derniers mois.
Un grand merci à Eric de m’avoir contacté et de m'avoir fait prendre connaitre la «toux de Tren».
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Plus je vieillis, plus j'apprécie les débats ouverts et la diversité des points de vue. Ca paraît démodé, mais il n'y a rien de mieux qu'une bonne discussion à l'ancienne pour relier les points. Voici mon histoire :
Mercredi dernier, j'avais prévu un appel Zoom avec un de mes lecteurs, Eric, qui souhaitait que j'écrive un article sur l' autophagie . Comme souvent dans une conversation ouverte et amicale, nous avons digressé. Eric est un entrepreneur de fitness à New York, un ancien culturiste et acteur. Évidemment, il vient avec une expérience riche et diverse dont je n'ai aucune idée… Internet ne peut pas vraiment résoudre ce problème. Seule une interaction humaine le peut.
Eric est intelligent et a un esprit curieux. Nous étions donc en train de bavarder sur une variété de sujets COVID , sur la possible pneumonie induite par le masque de sa femme, sur l'immunité des muqueuses… quand nous sommes finalement arrivés à notre moment décisif autour de ma théorie du "Bolus" . Eric intervint avec beaucoup de confiance :
- « Bien sûr, les injections intraveineuses sont courantes quand on injecte dans le muscle ! Connaissez-vous la « Toux de Tren» ?
N'étant pas du tout dans la musculation, je dois admettre que je n'avais aucune idée de ce dont il parlait. Eric a poursuivi en expliquant que les bodybuilders professionnels s'injectent régulièrement un stéroïde appelé Trenbolone (Tren) . L'injection est intramusculaire dans les muscles quadriceps, deltoïdes ou fessiers. Apparemment, immédiatement après une injection de Tren , il n'est pas rare que des bodybuilders inexpérimentés aient une toux de Tren. La Toux de Tren est une violente toux sèche qui survient généralement immédiatement après l'injection de ce stéroïde. Cela peut parfois être assez effrayant car la respiration devient très difficile.
Voici une description vivante de l'expérience que j'ai trouvée sur Internet :
«(I) J'ai terminé l’injection, j'ai remonté mon pantalon, j'ai senti le goût du tren dans ma bouche et la toux a commencé. Puis ma poitrine s'est bloquée. Je ne pouvais pas respirer sauf pour tousser. Je suis tombé au sol, je me débattais alors que tout mon corps faisait face comme si mes poumons s'étaient effondrés et que mon corps était dans une quinte de toux permanente. J'ai gémi et ma petite amie a fini par venir. J'ai été incapable de respirer correctement pendant tout l'épisode qui a duré ce qui m'a semblé être une heure mais cela a duré en réalité environ 2,5 à 3 minutes. Encore trop longtemps sans respirer. Elle a presque appelé les urgences. Je transpirais beaucoup, des larmes coulaient sur mon visage. Finalement, tout est passé.
Étant donné que ces injections sont auto-injectés et que leurs effets sont instantanés, la communauté du bodybuilding n'a jamais douté de la véritable cause de la “Toux de Tren”: une injection directe accidentelle dans un vaisseau sanguin. Comme ces injections sont assez régulières, les bodybuilders expérimentés ont compris que parfois le produit est délivré directement dans une veinule, et les produits se retrouvent sous une forme concentrée dans les poumons où ses effets vasoconstricteurs provoquent ces symptômes.
Les culturistes expérimentés savent qu'ils doivent aspirer pour vérifier la présence de sang , le signe qu'ils ont pénétré un vaisseau, et doivent se retirer pour éviter la « toux de Tren ». Les chercheurs ont documenté des accidents comme vous pouvez le voir ci-dessous.
Cela correspond tout à fait à la description dont ont témoigné de nombreux blessés vaccinaux : un goût dans la bouche immédiatement après l’injection , ce qui ne peut que signifier que le produit a été injecté dans le sang. Le goût est peut-être différent, "piquant" pour le Tren , " métallique " pour les vaccins, mais c'est la preuve que dans les deux cas le produit a été directement injecté à l'intérieur d'un vaisseau sanguin, aussi petit soit-il.
Quelle est la fréquence de la « toux Tren » ?
En d'autres termes : quelle est la fréquence des injections intraveineuses accidentelles ?
Malgré les preuves, de nombreux amis, lecteurs et membres de Team Reality ont écarté avec confiance la possibilité d'injections intraveineuses par inadvertance. La plupart déclarant simplement qu'ils faisaient des injections depuis des décennies et qu'ils n'avaient jamais touché une veine (comment le sauraient-ils?), jetant des chiffres comme 1 sur 10 000. D'autres, souhaitant probablement un mécanisme microbiologique plus complexe, imaginent une cause profonde plus digne de leurs qualifications. Une stupide injection intraveineuse enlève tout le plaisir intellectuel, je conçois. Mais la sécurité et la science devraient probablement passer en premier…
A mes yeux, la physiologie même du muscle fait assure mathématiquement que l' insertion aveugle de l’aiguille comporte un risque important de toucher un vaisseau sanguin . Après tout, les cellules ont besoin de sang pour survivre. Et l'argument d'autorité « T'as déjà injecté un vaccin dans un muscle, Marc ? " - aussi frustrant soit-t-il ne change rien à ce fait.
Comme les zones urbaines, les muscles doivent consacrer une part importante de leur volume à leur routee d'approvisionnement , il n'y a pas d'échappatoire à cette logique. Une étude aux États-Unis a souligné que les routes occupent 18 % des zones urbaines. Cela se traduit par environ 7 % dans un cadre 3D, un rapport de 1 à 14. La nature est plus optimisée que nos villes ne le seront jamais, mais certainemnet pas d'un facteur 10, peut-être 25-50 %. Ainsi, les chiffres que l'on m'a données de 1 sur 2 000, voire de 1 sur 10 000, sont largement exagérées. La réalité est probablement plus de l'ordre de 1 sur 20, ou 1 sur 30.
Une étude italienne pour un autre stéroïde moins agressif a trouvé 2 %, soit 1 sur 50 avec une aspiration et un produit moins détectable. Il est donc raisonnable de penser que la probabilité est plus élevée quand on n'aspire pas . Le Pr. Høiby a suggéré que la technique d'aspiration réduit les accidents de 60 %.
Cela suggère qu'une injection intraveineuse accidentelle se produit dans 5 % des cas sans aspiration ! 1 chance sur 20…
En somme, les personnes qui reçoivent 4 injections ont 20 % de chances d'être blessées par le vaccin. On se demande pourquoi tant d'autorités ont décidé de ne pas suivre l'exemple du Danemark et de Hong Kong. Plus important encore, lors de la conception des protocoles d'injection, pourquoi n'étaient-ils pas au courant de l’excellent protocole conçu par les culturistes ? 😏
Les médecins et l'OMS peuvent apprendre beaucoup des bodybuilders
Il est fascinant de voir la différence de réaction entre :
une communauté qui-joue-sa-peau avec des enjeux importants impliquant « leur propre vie » : les bodybuilders, d'un côté ; et
une communauté docile et insouciante car leur vie n'est en rien affectée par l’injection : la communauté médicale.
En d'autres termes, si les médecins et les infirmières s'auto-injectaient et avaient subi la «toux de Tren», ils auraient probablement adopté des protocoles similaires à ceux conçus par la communauté du culturisme et auraient évité la plupart des effets indésirables dramatiques ces 19 derniers mois!
Voici quelques recommandations que j'ai recueillies à communiquer à votre médecin, ou à l'OMS :
Utilisez une autre aiguille pour injecter le liquide que celle utilisée pour le prélever du flacon. Ils sont de longueurs différentes apparemment. Franchement, je ne sais pas comment cela peut jouer un rôle, d'une manière ou d'une autre. Cela a simplement du sens en termes d’utilisation de l'aiguille, mais sans analyse plus approfondie, cela pourrait aller dans les deux sens.
Insérez l'aiguille lentement pour éventuellement écarter le vaisseau au lieu de le percer. Nous avons vu des pratiques inverses, l'insertion rapide de l'aiguille, un peu partout, juste pour éviter la douleur. Pas très malin.
Diluer davantage le produit : C'est une excellente idée : Plus c'est dilué, plus c'est sûr. Supposons que vous diluiez le vaccin deux fois plus, le potentiel de transfection serait alors réduit d'environ 40 %.
Aspirez pour tester le sang (surprise, ils aspirent aussi !) : retirez l’aiguille si positif pour éviter d’injecter directement dans la circulation sanguine. Je pense que j'ai déjà rebattu ce sujet. On sait que le Danemark, Hong Kong et l'Allemagne ont fini par ré-instaurer la « technique d'aspiration »… On se demande encore franchement ce que fait l'OMS ?! Très révélateur, il me semble que le but de leur leadership n'est pas la sécurité sanitaire, c'est le moins qu'on puisse dire. Sinon, ils auraient regardé l'Allemagne et auraient emboîté le pas, même en retard.
Injectez le produit très lentement , c'est-à-dire « évitez le bolus ! ” : Les injections de produits en intraveineuse pour une diffusion large se font généralement sur une minute pleine. Pouvez-vous imaginer la différence…
En d'autres termes, les bodybuilders ont mis au point 4 techniques d'atténuation différentes, là où l'OMS et la communauté médicale en ont zéro ! …
Il faut aplatir la courbe, celle du Bolus !
Évitez les insertions intraveineuses accidentelles.
Évitez d'appuyer rapidement sur le piston de la seringue.
Il est effrayant de constater à quel point le protocole d'injection de l'OMS s'oppose au protocole des culturistes. Comme si un protocole pour injecter l'humanité entière avait été conçu par des professionnels inexpérimentés, entièrement retranchés de la réalité…
En conclusion, tous les éléments constitutifs de ma théorie se sont maintenant avérés réels et certains.
Les injections intraveineuses accidentelles sont une certitude physiologique et mathématique lorsqu'on injecte massivement une population par voie intraveineuse et qu'on ne met pas en place des mesures d'atténuation.
La création d'un bolus et la transfection concentrée sont une certitude pharmaco-dynamique : une poussée instantanée sur le piston crée inévitablement un bolus lorsqu'il est injecté dans le sang, comme le prouvent de nombreuses études et mis en évidence par plusieurs protocoles de médicaments administrés par voie intraveineuse.
L' Endothélium comme principale zone transfectée est une certitude physique : la transfection étant plus difficile qu'on ne le pense, seule la pression ou/et une topologie favorables (capillaires) produiront des résultats. Le système circulatoire est donc le seul endroit où les conditions sont propices à une transfection efficace.
La destruction des cellules transfectées est également une certitude immunologique : Que ce soit via les cellules Natural Killers ou les lymphocytes T, de nombreuses études ont démontré que le système immunitaire fait son travail de manière prévisible en détruisant toute cellule compromise par le vaccin.
Lorsque l'endothélium est endommagé, les coagulants sont une certitude biologique : Si des milliers de cellules endothéliales adjacentes sont détruites simultanément dans l'aorte ou dans les artères, les coagulants tentant de boucher le trou et d'arrêter le saignement seront entraînés en aval par le flux, et obstrueront les capillaires et les veines en aval. C'est inévitable. Accidents vasculaires cérébraux, thromboses, purpura, nécroses, défaillances d'organe suivront inéluctablement.
Dans les cas moins graves, l'augmentation de la perméabilité des barrières endothéliales est une certitude évolutive, que cette perméabilité soit transitoire ou permanente : l'évolution nous a accordé des capacités de guérison uniques, mais la perte de cellules massive s'accompagne souvent d'une perte de fonction. L'homéostasie est perturbée au-delà de la réparation parfaite. Par exemple, lorsque la peau est brûlée, elle peut cicatriser mais perdra sa souplesse, sa capacité à transpirer, etc. Il en sera de même lorsque nos cellules immunitaires ravagent nos parois endothéliales.
Tout cela est parfaitement cohérent avec la grande variété d'effets indésirables observés dans le monde entier. Il est également conforme aux campagnes de vaccination massives passées qui ont dû être arrêtées. Mais plus important encore, cela correspond également aux dommages moins visibles causés par d'autres vaccins transfectants (comprendre tous les vaccins à virus atténués, notamment le ROR).
Il ne fait aucun doute dans mon esprit que la centralisation excessive de la santé publique est une garantie au désastre. Des médecins technocratiques, retranchés du terrain, cachés des réalités du monde à Genève, décidant pour le monde entier ne pouvait que conduire - et a déjà conduit - à la catastrophe.
Peut-être que quelques bodybuilders pourraient passer les voir et leur apprendre à injecter correctement ? …
Amitiés, Marc.
Bonjour . Et franchement , que coûte d’écouter ses conseils simples : aspirer et injecter très lentement ? Du temps mais rien de plus . Faire différemment serait perdre du bon sens. Merci Marc 🙏🏻
Lors d'un job d'étudiante aux soins intensifs de ma ville il y a quarante ans, comme il y avait deux personnes soignées pour le tétanos sur place, les infirmières ont parlé de leurs expériences de la vaccination intra-musculaire. Une jeune femme précisait que selon le protocole établi depuis toujours, il fallait aspirer d'abord, ce qu'elle avait fait, et paniquée, elle a vu apparaître un genre de tortillon rouge dans la seringue!
Vite, on arrête tout, elle en a gardé une forte émotion, car cela ne ressemblait pas à une goutte de sang.
De ce jour j'ai retenu qu'il fallait toujours aspirer d'abord, or quelle ne fut pas ma surprise de constater que cela ne se faisait jamais sur les vidéos de vaccinations de masse (même dans la voiture!) à la chaîne et à la va-vite.
Cela donne envie de faire un grand détour pour éviter ce cirque organisé à la va-vite également.
D'ailleurs d'où leur est venue l'idée grotesque de nommer certains endroits "vaccinodromes"?
J'ai écouté attentivement le CSI et suis bien heureuse d'avoir pu lire en détail votre publication pour "enfoncer le clou".
Merci donc pour ce message éclairant qui donne des pistes sérieuses.