Enigme des Embaumeurs: "Euréka!"
Mythe de l'Innocuité Vaccinale - Partie 2 - "Qu'advient-il des milliards de nanoparticules dont vous êtes l'hôte ?"
Saviez-vous que Henry Ford a eu l'idée de la chaîne de montage sur une chaîne de désassemblage ?... dans un abattoir où des vaches étaient littéralement transformées en pièces détachées.
Ça donne le ton: un article plutôt sombre, je dois l'admettre.
J'ai eu un "Euréka" sombre cette semaine lors d'une conférence vidéo hebdomadaire organisé par mon ami Steve Kirsch, que beaucoup d'entre vous suivent.
Les moments d’inspiration prennent du temps a émergé.
Il s'agit d'associer, de relier les points, de mettre les choses en perspective :
Une sorte de processus synesthésique de battements d'ailes de papillons distants entrant en résonance.
C'est pourquoi la liberté d'expression est si importante.
C'est pourquoi la lecture, l'écoute, l'odorat, le toucher et la discussion sont si importants pour la compréhension humaine. Les débats actifs avec des libres penseurs sont un processus de cristallisation essentiel pour relier les faits, les concepts et les anecdotes en un ensemble cohérent qui donne du sens aux choses.
L'article d'aujourd'hui s'appuie sur cinq déclencheurs distincts que j'ai eus ces derniers mois :
Il manquait quelque chose à mon article "Qu'arrive-t-il à ces milliards de nanoparticules..." : Le principe fondamental de l'analogie des balles rebondissantes était qu'il était impossible que ces vaccins soient sûrs. Une quantité massive de nanoparticules se retrouvait dans la circulation sanguine. Toutes avaient la capacité de transfecter n'importe quelle cellule n'importe où... mais quelque chose manquait : où cette quantité massive était-elle la plus négative ? pourquoi, où et comment les nanoparticules blessaient-elles le plus les gens ? ...
saignement sans blessure apparente : au cours d'une de nos conversations, Peter McCullough a mentionné que de nombreuses personnes blessées par un vaccin présentaient des taux très élevés de D-dimères dans le sang, mais qu'un examen IRM ne montrait aucune explication spécifique à cette hémorragie. qu'est-ce qui saignait ? pourquoi n'était-il pas visible ? J'avais alors une idée... le dommage était distribué, cachée à la vue de tous.
Un cœur calcifié m'a laissé perplexe début septembre lorsque j'ai lu pour la première fois une étude puissante au cours de laquelle l'université de Hong Kong avait injecté par voie intraveineuse du Comirnaty (alias vaccin Pfizer) à des souris pour constater qu'il déclenchait une calcification du péricarde en seulement 1 journée !
Ce phénomène n'était probablement pas dû aux protéines de pointe, mais aux attaques des lymphocytes T sur les cellules transfectées par le vaccin. J'ai décidé d'étudier un peu plus la calcification induite par l'inflammation...la distribution des nanoparticules lipidiques (NPL) en dehors du muscle : En mai dernier, la requête FOIA de mon ami Byram Bridle auprès des autorités Japonaises a confirmé ma certitude épidémiologique que les vaccins causaient des dommages. A mon sens, la découverte que de grandes quantités de NPL s'échappaient du muscle annihilait toute possibilité d'innocuité. J'étais intellectuellement sous le choc. Ces NPL allaient inévitablement transfecter des cellules saines de manière dangereuse. Mais j'ai laissé de côté la question la plus importante : où/à quel organe ces nanoparticules allaient-elles faire le plus de mal?
des caillots élastiques en forme ver blanc dans les cadavres m'ont intrigué et mis très mal à l'aise après les entretiens que mon ami Steve Kirsch a eus avec une série d'embaumeurs Américains le mois dernier. Ces professionnels ont tous été confrontés à ce phénomène nouveau, apparemment très répandu. Il était raisonnable d'émettre des hypothèses sur les vaccins à l'origine de cette formation gluante, mais il faudrait du temps pour que ces hypothèses se concrétisent. Qu'est-ce qui pouvait amener ces tubes élastiques à envahir des vaisseaux sanguins ?
crédit photo : Richard Hirschman
La semaine dernière, je parcourais avidement le nouveau lot de documents publiés par la FDA. Frustré de découvrir des listes interminables de codes inutiles. J'espérais que le juge du Texas condamnerait la FDA pour outrage au tribunal en raison de la résistance et de la volonté d’obstruction évidente dont elle continue de faire preuve.
J'ai fini par revenir à ces tables de distribution illisibles...
...et j'ai commencé à fouiller, en essayant de donner un sens à tout ça.
Au début, je pensais que le rapport cerveau/corps d'un humain était plus élevé que celui d'une souris... j'avais tort, c'est le même (1:40). Ensuite, j'ai évalué la transfection totale dans la moelle osseuse qui n'était pas présentée...
Combien de NPL au total dans le système circulatoire ?
Mais il me manquait encore le plus évident, le système circulatoire : Dans les 8 heures suivant l'injection1, j'ai estimé qu'entre 785 millions (8h post injection) et 3,2 milliards (2h post-injection) de nanoparticules circulent à tout moment dans la circulation sanguine.
En 8 heures, un nombre impressionnant de 7,2 milliards de nanoparticules sont en mesure de transfecter et d'infliger des dommages considérables au système circulatoire.
Sachant que l’efficacité des nanoparticules s'estompe avec le temps, j'ai calculé les moyennes des concentrations et des nombres de LNP pendant les 8 premières heures pour obtenir le tableau suivant (avec 2 échelles logarithmiques !)...
Où et comment les nanoparticules blessent-elles le plus les gens ?
LE SYSTÈME SANGUIN EST TOUCHÉ DE MANIÈRE EXPONENTIELLE
tant en nombre total qu'en concentration. Il est naturellement le plus touché de tous les "organes", les concentrations et le nombre total indiquent que c'est là que les dommages seront les plus importants. Ses cellules endothéliales sont en première ligne, notamment dans les micro-vaisseaux proches des organes. Il est entièrement exposé. Plus la fuite est rapide (pression exercée par la masse musculaire d'un jeune athlète par exemple) et plus la conformité de la qualité de la dose injectée est élevée ( plus la qualité est élevée, plus la toxicité est grande), plus les dommages aux parois endothéliales seront dramatiques, qu'ils soient concentrés ou répartis. Lorsqu'il est concentré, l'effet indésirable se produira rapidement; lorsqu'il est bien réparti, il peut prendre des mois à se manifester. Les dommages se produiraient encore...Le foie semble également héberger un nombre élevé de NPL et la plus forte concentration de LNP cytotoxiques. Mais la fonction du foie est précisément de filtrer, il est donc possible que ce nombre élevé ne cause pas autant de dommages car ces traces luminescentes sont composées de débris de LNP.
Mais comme le cœur, les poumons, les reins et l'intestin grêle, le foie subirait inévitablement des dommages considérables compte tenu de cette répartition, et certaines de ses fonctions vitales pourraient être entravées.La rate serait apparemment touchée par la plus forte concentration de NPL, et il ne serait pas surprenant qu'une grande partie du déficit immunitaire observé chez de nombreux vaccinés provienne d'une telle invasion. Les NPL interagissent-elles directement avec les cellules immunitaires ou sont-ce les cellules de la rate transfectées qui entravent leur fonctionnement ? Il est difficile de le dire pour l'instant... Nous savons simplement, grâce à l'accélération du cancer ou à la réactivation de virus dormants, que notre système immunitaire peut être affaibli par ces vaccins.
Saigner sans blessure apparente...…
Pour le système circulatoire long de 100 000 km, la transfection des parois endothéliales signifiera la destruction des cellules endothéliales par les cellules T, et peut-être aussi des dommages causés par les protéines de pointe2. L'idée qu’une cellule transfectée puisse éviter d'être détectée par le système immunitaire est, à mon avis, arrogante et illusoire. L'étude de Hong Kong a montré que les cellules T pénètrent profondément dans le cœur. À ma connaissance, il n'y a aucune raison de croire que les cellules T laisseraient de côté une quelconque cellule transfectée en paix...
La destruction des cellules endothéliales provoquerait possiblement des saignements localisés. Si la fuite initiale du site d'injection est suffisamment régulière, cela signifierait que les NPL seraient mélangés de manière homogène, une ou deux cellules endothéliales par centimètre ne seraient pas du tout visibles, même beaucoup plus dans des zones plus concentrées ne seraient pas perceptibles.
Des piqûres répétées, une masse musculaire dense, des vaisseaux sanguins non étanches et une injection à proximité du système circulatoire ou lymphatique sont autant de facteurs susceptibles d'accroître les dommages vasculaires.
Alors, qu'en est-il de la calcification ??
Comme nous le savons tous, surtout ici à Paris, les dépôts de calcaire ont tendance à se produire dans les canalisations. L'évolution a dû faire face au même problème à l'intérieur des vaisseaux sanguins où des dépôts de phosphate de calcium peuvent se produire. De puissants inhibiteurs (Pyrophosphate, Fétuine-A...) sont apparus, de manière locale et systémique, pour assurer que nos tuyaux - je veux dire nos vaisseaux sanguins - soient aussi intacts et sans calcaire que votre baignoire bien entretenue.
Comme nous l'avons vu dans l'étude de Hong Kong, la calcification peut se produire assez rapidement - 2 jours avec une injection IV. On peut imaginer que le même processus puisse se produire plus lentement, et peut-être de manière plus diffuse avec des cristaux de phosphate de calcium (ou d’autres) circulant dans le sang, en nombre toujours croissant. Cela se traduirait nécessairement par des symptômes inimaginables de type Goutte... que j'ai pourtant retrouvés dans le VAERS dans 2 255 cas.
Que se passe-t-il probablement avec ces cellules qui produisent ces inhibiteurs ? Plusieurs pistes possibles : la mort des cellules vasculaires lisses induite par le vaccin dans toute la circulation interrompt l'inhibition de la calcification du Pyrophosphate, ou la Fétuine-A habituellement produite dans le foie n'est plus produite parce que les cellules hépatiques sont endommagées...
Que ce soit dans le cœur ou ailleurs, ces vaccins peuvent clairement perturber les inhibiteurs de calcification, menaçant ainsi la vie même de nos proches, de nos amis et de nos voisins..
Ces vaccins auraient-ils pu faire vieillir nos vaisseaux sanguins de 50 ans en 6 mois ? C'est bien possible dans certains cas.
Alors qu'est-ce que c'est que ces caillots élastiques blancs en forme de ver ?
Nous avons le où : le système circulatoire
On a le pourquoi : Les cellules T attaquent les cellules transfectées, des caillots se produisent, les parois endothéliales sont abîmées par les cellules T ou les crystaux circulants et exposent l'élastine...
Nous avons la couleur blanche : dépôts de phosphate de calcium dans le sang suite à la destruction des cellules productrices d'inhibiteurs de calcification.
Mélanger l'élastine et le phosphate de calcium à l'intérieur d'un vaisseau sanguin...
Voyez-vous mon "Euréka !" maintenant ?
La question maintenant : Devrions-nous donner d'urgence du pyrophosphate pour éviter que davantage de vaccinés ne finissent au funérarium?
pour une injection intramusculaire bien faite
qu'il s'agisse des cellules T, et/ou des protéines de pointe, c'est le système circulatoire qui est vraisemblablement le plus à risque avec ces vaccins.
Une augmentation épidémiologique consécutive aux pics d'injection ARN de l'incidence des coliques néphrétiques par excès de calcium serait en faveur de l'hypothèse de la baisse de la fétuine A hépatique.