Personne n'accepterait une fièvre permanente... Alors, pourquoi accepter des anticorps élevés en permanence ? C'est une "Death Zone" !
Mythe des Anticorps Élevés - L'évolution a éliminé les personnes qui présentaient des niveaux élevés d'anticorps, n'est-ce pas un signe dont nous devrions tenir compte ? - Covid Myth Buster
En escalade de très haute altitude, il existe une zone appelée "Death Zone", une zone au-dessus de laquelle votre survie est limitée dans le temps : vous pouvez y demeurer 16-20 heures maximum. Aucune personne saine d'esprit, escaladant le Mont Everest, ne resterait longtemps au sommet ...
Nombreux sont ceux attirés par les hautes altitudes - une aventure à raconter à ses petits-enfants, la transcendance d'une vie, la quête de l'excellence... - mais on l’appelle la zone de la mort pour une bonne raison: si vous y restez trop longtemps, vous y mourrez. Il n'y a pas d'échappatoire possible. La sécurité et la vie se trouvent dans la vallée. La seule option est de descendre.
Le même principe s'applique à notre système immunitaire. On peut le déséquilibrer, mais pas trop longtemps. Pendant une infection, un déséquilibre temporaire est un compromis acceptable pour combattre et chasser le virus :
une forte fièvre1 pour détruire autant de virions que possible,
l’invasion temporaire des cellules T pour éliminer toutes les cellules infectées,
et un grand nombre d'anticorps pour neutraliser et évacuer le reste des débris viraux.
Une fois l'infection disparue, un régiment de sentinelles est laissé dans les muqueuses pour garder l'entrée pendant le reste de l'épidémie, quelques sentinelles itinérantes avec une mémoire à vie sont mises en place, et le reste s'éteint pour ramener la paix et l'équilibre. C'est ce qu'on appelle l'homéostasie. La fièvre se dissipe. Les cellules T s'autodétruisent2 rapidement. Et les anticorps diminuent progressivement.
Pourquoi ? Pourquoi l'évolution a-t-elle choisi la voie de la dissipation de la fièvre, le suicide des cellules T et des anticorps lentement réduits ? Eh bien, il y a une réponse liée à la sécurité, et elle est assez évidente :
Une fièvre trop longue finirait par détruire toutes les cellules saines, et le remède serait donc pire que la maladie.
Des cellules T spécialisées perpétuelles seraient également dangereuses car elles pourraient lancer des attaques hors cible contre des cellules saines (comme c'est souvent le cas avec les traitements anticancéreux par immune checkpoint inhibitors), et ce serait comme laisser dans votre maison un bataillon de soldats armés avec leurs fusils chargés et leurs grenades sans goupille.
Enfin, des taux très élevés d'anticorps - n'ayant nulle part où aller - sont également extrêmement dangereux. Ils peuvent se lier passivement aux récepteurs des cellules saines et déclencher une cascade de maladies auto-immunes. Un véritable terrain miné à la maison.
Il est donc parfaitement logique que les anticorps diminuent. Comme indiqué dans mon article de juin comparant l'immunité naturelle et l'immunité induite par les vaccins :
"Du point de vue de l'évolution, seuls ceux dont le nombre d'anticorps et de lymphocytes T a diminué après l'infection ont survécu. Donc, un nombre décroissant d'anticorps et de lymphocytes T est rassurant, voire sain. "
De nombreux politiciens et fabricants de vaccins proposent aujourd’hui avec insistance des injections répétées, des rappels tous les 3 ou 4 mois, comme si la baisse des anticorps était un signe de perte d'immunité. En réalité, ils font de la baisse naturelle des anticorps un bouc émissaire. C'est un écran de fumée pour cacher leur échec et l'inefficacité de ces vaccins intramusculaires. Je ne reviendrai pas ici sur les raisons pour lesquelles ces vaccins ne peuvent pas aider les victimes du COVID, ni sur les raisons pour lesquelles ces vaccins intramusculaires sont inefficaces (cliquez sur les urls si vous êtes intéressés).
Aujourd'hui, je voudrais souligner la folie absolue qui consisterait à inoculer ces produits à toute une population tous les 3 ou 4 mois. Ca serait tout simplement criminel.
À mon avis, les injections répétées de vaccins ne peuvent conduire qu'à un seul résultat : la maladie généralisée et la mort. Des anticorps élevés en permanence sont l'équivalent d'une "Death Zone" : un risque très élevé de développement accéléré de maladies auto-immunes : Parkinson, Kawasaki, sclérose en plaques, troubles démyélinisants...
Les virus partagent souvent du matériel génétique avec les humains. Un concept appelé mimétisme moléculaire. En réaction à une infection, le système immunitaire peut parfois développer un arsenal immunitaire contre ses propres cellules exprimant ces éléments partagés. Comme vous pouvez le voir dans le tableau ci-dessous, la protéine de pointe (la Spike) du SRAS-COV-2 partage au moins 26 peptides avec le corps humain.
Source : "Covid-19 and autoimmunity" par Michael Ehrenfeld et al, Autoimmunity Reviews, 2020
Dans le cas d'une infection naturelle, le risque est relativement limité car la majeure partie des anticorps finit par se lier aux virus circulants en très grand nombre. Cependant, dans le cas de vaccinations répétées, c'est très différent. Après la deuxième injection, il est probable que des quantités limitées de spike soient produites, car les lymphocytes T détruiront rapidement la capacité de production. Ainsi, pour la plupart d'entre nous, de grandes quantités d'anticorps seront inévitablement laissées en circulation sans but, augmentant de façon exponentielle (temps x quantité) le risque d'une association moléculaire accidentelle aux conséquences catastrophiques. Si certains médecins ont peur des conséquences possibles des virus dans la création de maladies auto-immunes, ils devraient être terrifiés par l'ampleur et la durée de cette "zone de mort" générée par des injections répétées.
L'évolution a déjà déroulé ce scénario et il n'est pas bon. Certains ancêtres ne bénéficiaient pas de l'affaiblissement des anticorps, et ils ont tous disparu de la planète... Cela devrait alerter les politiciens qui veulent imposer ces pass vaccinaux sur le risque qu'ils prennent pour la population et sur leur responsabilité.
Dans cet article daté d'avant la pandémie, les auteurs expliquent : " Comme l'histoire nous l'enseigne, les vaccins, aussi fondamentaux soient-ils pour la médecine moderne, sont sujets à des failles potentielles de la même manière que tous les développements de l'homme. ".
Les vaccins actuels présentent de multiples défauts. Un défaut majeur est de ne pas avoir supprimé le matériel génétique commun avec le génome humain. Les peptides autologues étaient un risque connu qui pouvait être évité. Les fabricants de vaccins, protégés, ont choisi de les ignorer. Et les autorités de santé publique et les politiciens ne peuvent continuer à fermer les yeux sans conséquences catastrophiques.
La “zone de la mort" de la vaccination existe, et nous devons de toute urgence redescendre dans la vallée, nous devons arrêter de vacciner, arrêter de stimuler des anticorps sans but et faire confiance à nos systèmes immunitaires.
Je dois écrire un article sur les dommages causés par le paracétamol, et son rôle potentiel dans une pandémie plus large et plus mortelle.
Un phénomène appelé anergisation