Qu'advient-il des milliards de nanoparticules dont vous êtes l'hôte ?
Mythe de la sécurité des vaccins - Deux mécanismes fondamentaux expliquant les effets indésirables graves post-vaccination
Certains d'entre vous se souviennent peut-être de l'une des plus belles publicités jamais réalisées, celle de Sony, très colorée, dans le quartier de mon enfance à San Francisco. Vous vous en souvenez peut-être, ils libèrent 170,000 balles rebondissantes qui dévalent les rues dans un ballet magnifiquement chaotique de balles en caoutchouc de toutes les couleurs.
Au cours de cette descente poétique, les balles rebondissent sur les gouttières, les coffres de voiture, les toits en tuiles de bois, les lampadaires... frappant les boîtes aux lettres, renversant les poubelles, secouant les porte-journaux... Qui sait où elles finissent leur course: coincées dans un garage, dans un jardin, sur un toit? La seule chose de sûre est que la gravité les tire vers le bas, qu'une majorité d'entre elles finissent à la Marina après avoir cogner divers objets en chemin - en solo ou groupées - dans une merveilleuse chorégraphie désordonnée.
Les vaccins anti-COVID actuels peuvent être comme ces balles rebondissantes dans votre corps. Il est évident que les nanoparticules1 (LNP/Vecteurs viraux) et les protéines de pointe sont beaucoup moins poétiques, mais ce qui leur manque de poésie, elles le compensent en chaos potentiel et en surprises funestes. Les effets dominos qu'elles déclenchent peuvent être inquiétants, et parfois même dramatiques.
Tout comme il est impossible d'expliquer pourquoi, comment ou quand une balle rebondissante a ouvert une boîte aux lettres, ou renversé une poubelle, il est impossible de décrire précisément les conditions exactes qui ont conduit à un effet indésirable particulier de ces nouvelles inoculations qui transforment nos cellules en usines de production d’une protéine toxique.
Dans les prochaines lignes, j'essaierai d'esquisser des points communs, des gravités et des dynamiques, qui sont factuels et je tenterai d'expliquer certains des mécanismes qui probablement causent les maladies et les décès consécutifs à ces vaccins. J'essaierai de donner un sens à cette absurdité.
Un nombre fou de NP. Un nombre encore plus fou de protéines de pointe.
Le nombre de nanoparticules (NP) injectées dans une dose de ces vaccins anti-COVID est tout à fait ahurissant : jusqu'à 50 milliards de vecteurs viraux pour AstraZeneca, 40 milliard de NPL pour Moderna, et probablement 10 pour Pfizer. On ne sait pas très bien combien d'ARN messagers intacts se trouvent dans chaque NPL, mais même si l'on s'accorde à dire qu'il n'y en a qu'un seul, et que chacun d'entre eux produit 1000 protéines de pointe, votre corps pourrait faire face à 30 mille milliards de protéines de pointe pathogènes2 en quelques mois...
Ces chiffres sont bien supérieurs à ceux des infections très graves de SRAS-COV-2 : généralement, au pic de l'infection, entre 1 et 100 milliards de virions sont présents dans l'organisme.
Ce que la communauté médicale et de santé publique n'a pas compris, c'est que toutes les cellules saines qui seront infectées3 par ces nanoparticules seront finalement détruites par le système immunitaire. Lorsque vous prenez le vaccin de Pfizer, vous acceptez de sacrifier jusqu'à 45 milliards4 de vos cellules saines... avec AstraZeneca, c'est 150 milliards !
Même si, pour une raison ou une autre, un grand nombre de ces NP transfecteront la même cellule, ou seront simplement détruites avant d'avoir jamais transfectées, ces chiffres restent vraiment gigantesques. Et il n'est pas surprenant que les bras de certaines personnes soient douloureux - ou que certains meurent quasi instantanément - après la vaccination, car les lymphocytes T attaquent ces cellules productrices de spike pour commencer à débarrasser le corps de cette copie trop parfaite de l'infection.
Bien sûr, il s'agit de vaccins censés être intramusculaires et destinés à rester dans le muscle. Simple, pas de chaos, pas de conséquences imprévues : Théoriquement, la NP fusionne avec la cellule musculaire, l'ARNm ou le vecteur viral est inséré, la machinerie intracellulaire de la cellule musculaire commence à produire des protéines de pointe, les cellules sont identifiées par les systèmes immunitaires comme étant "compromises", les cellules T attaquent la cellule infectée et les protéines de pointe sont déversées dans les tissus et la circulation sanguine pour déclencher la sélection et la production d'anticorps, les anticorps neutralisent et éliminent la protéine de pointe. “Si les balles rebondissantes restent au même endroit”, alors il n'y a pas d'effet domino, rien ne se passe à part la destruction des cellules musculaires qui sont finalement régénérées rapidement. Fin de l'histoire.
Alors c'est quoi cette histoire de "balles rebondissantes" et de chaos ?
Eh bien, voici le piège :
Si vous injectez 10 milliards de nanoparticules dans le muscle, comment pouvez-vous être sûr qu'elles y resteront ? ... C'est impossible !
Même si Sony avait lancé des milliers de balles rebondissantes à une intersection plate sur les hauteurs de San Francisco, il y a de fortes chances que beaucoup d'entre elles finissent à descendre dans la pente. Le plan est une chose, la réalité en est une autre. Même chose pour les vaccins.
Il existe 2 voies différentes par lesquelles la NP peut s'échapper du muscle: la circulation sanguine et le système lymphatique. Ces deux réseaux se comportent très différemment, et les conséquences possibles d'une fuite sont susceptibles d'être très différentes ...
Le système circulatoire est un réseau en boucle fermée qui fait circuler le sang dans tout le corps pour apporter des nutriments, de l'oxygène et des éléments immunitaires aux organes, pour filtrer les agents pathogènes, les matières dangereuses ou indésirables en circulation, et pour faire le plein d'oxygène tout en se libérant du dioxyde de carbone. Le sang circule donc de manière concentrée vers le coeur, les poumons, le foie et la rate, sans oublier le cerveau et l'appareil reproducteur.
Le système lymphatique est un réseau ouvert, c'est le système de drainage des tissus ainsi que le réseau du système immunitaire qui relie les ganglions lymphatiques, le thymus, la rate et la moelle osseuse.
Que feront les nanoparticules lipidiques du vaccin à l'extérieur du muscle ?
Voici ce qui est intéressant. Tout comme nous savons avec certitude que nos balles rebondissent et sont soumises à la gravité, nous savons avec certitude que.. :
les nanoparticules délivrent l'ARNm ou le vecteur viral à l'intérieur des cellules, où qu'elles se trouvent les cellules transfectées produiront des protéines de pointe pathogènes ☠, les libèreront et les répandront.
une réaction immunitaire sera alors stimulée - avec des anticorps et des cellules T spécifiques - à la fois contre la protéine de pointe, mais aussi contre les cellules transfectées.
des millions - voire des milliards - de cellules transfectées finiront par être détruites 💥💥
Cela ne devrait surprendre personne, c'est l'objet même de ces produits intramusculaires qui sont - du moins à court terme - relativement inoffensifs s'ils restent dans le muscle.
Alors, que se passe-t-il si les NP finissent ailleurs ?
Lorsque les producteurs de la publicité Sony ont décidé d'utiliser de véritables balles rebondissantes dans les rues de San Francisco, ils ont conçu l'expérience non seulement pour créer une merveilleuse expérience artistique, mais aussi pour protéger les piétons et l'environnement. Les balles ont été choisies pour ne pas endommager les maisons victoriennes, et des filets de protection ont été installés pour éviter de blesser les gens. Ils n'ont pas décidé du jour au lendemain de lancer des milliers de balles rebondissantes dans une rue très touristique comme Lombard Street.
Lombard Street - San Francisco
Une production imprudente pourrait causer des dommages et blesser beaucoup de monde, que ce soit si une masse de balles s'abattait sur quelques touristes en ballade, ou si quelques-unes d'entre elles provoquaient un accident de voiture ou la chute d'une personne.
Dans le cas des vaccins, il semble que "les balles ont trouvé leur chemin vers Lombard Street". Nous sommes ici totalement hors-script. Il est clair qu'en de nombreuses occasions, les NP échappent au muscle avec des conséquences très graves.
Si les NP sont libérées loin du muscle, elles sont susceptibles d'atteindre et de pénétrer les cellules dans trois zones principales :
les parois endothéliales dans les micro-vaisseaux : lorsqu'elles sont plus étroites, la probabilité de transfection est 440 fois plus élevée. En d'autres termes, les balles rebondissantes frappent plus souvent les murs lorsque la rue devient plus étroite...
les cellules des organes vitaux : tout comme les vaisseaux sanguins apportent des nutriments aux organes, ils sont susceptibles d'apporter des NP au coeur, au foie, aux poumons... et même, à l'occasion, de franchir la barrière hémato-encéphalique pour atteindre le cerveau.
les ganglions lymphatiques : les organes à proximité du site d'injection les plus susceptibles d’être touchés sont les ganglions lymphatiques qui deviendront naturellement des réceptacles de nanoparticules.
De telles fuites provoquerait inévitablement des perturbations majeures en aval, car de grandes surfaces des cellules interconnectées pourraient être transfectées, et produire et libérer grandes quantités de spike; notamment une fois attaquées par les cellules T:
dans les vaisseaux sanguins, cela provoquerait une forte inflammation, des saignements, la coagulation dans les zones où la transfection est le plus dense, des nécroses en aval, la calcification artérielle et des thromboses : de nombreux accidents vasculaires cérébraux et thromboses dans les bases de données des effets secondaires confirment ce risque.
dans des organes comme le coeur, les poumons, le foie et les ovaires, il est probable que ces fuites créent un degré élevé d'inflammation, de mort cellulaire (apoptose) et de calcification (du péricarde par exemple, avec un risque d’infarctus) : le nombre élevé de myo/péricardites tend à confirmer cette possibilité.
dans les ganglions lymphatiques, il pourrait soit interférer avec la fonction même du ganglion lymphatique (cellules B) lorsque la nanoparticule pénètre dans les nodules lymphatiques, soit interférer avec le système immunitaire en transfectant les cellules immunitaires contenues dans le ganglion lymphatique, avec les risques de déficience immunitaire partielle : La réapparition de virus dormants comme le zona semble aller dans ce sens.
Il semble raisonnable de supposer que ces NP peuvent se retrouver au mauvais endroit par 2 mécanismes:
accidentellement par injection directe dans un vaisseau sanguin (déjà abordé dans un autre article " Qu'est-ce qui pourrait mal tourner ? ") ou dans le système lymphatique ;
soit naturellement en traversant progressivement le tissu musculaire et en s'écoulant dans le sang et/ou dans le système lymphatique.
Que se passe-t-il si, par accident, le vaccin est injecté par voie intraveineuse ?
Le pire scénario est certainement une injection intraveineuse directe, car une dose concentrée conduit naturellement en aval à une transfection concentrée sur une surface large qu'elle n'était pas censée atteindre. Cela entraînerait une réaction extrêmement brutale, une tempête de cytokines cataclysmique, une thrombose majeure et très probablement une mort rapide étant donné le nombre de NP injectées.
En effet, dès le mois de mars 2021, les autorités Danoises ont recommandé d'utiliser la technique d'aspiration pour éviter ce genre de situation.
Saturer les ganglions lymphatiques avec des nanoparticules peut potentiellement conduire à une transfection massive des cellules immunitaires contenues dans le réceptacle que sont les ganglions lymphatiques. Cela peut également conduire à la transfection des cellules mêmes des ganglions lymphatiques, inhibant partiellement la fonctionnalité de ces organes producteurs de cellules B, et perturbant les cellules immunitaires actives.
Que se passe-t-il si les NP passent progressivement dans la circulation sanguine ?
Une étude comparative de la myocardite en Norvège et au Danemark a montré qu'éviter l'injection directe en utilisant la technique d'aspiration permettait de réduire les chiffres d'au moins 58 %, mais pas entièrement. Cela semble indiquer que les nanoparticules s'échappent en fait du muscle vers l'organisme lorsque le sang et la lymphe évacuent les éléments du tissu musculaire... de manière plus diffuse.
Comme les nanoparticules sont injectés dans le muscle, il est tout à fait naturel qu'une partie d'entre elles finissent par migrer vers la circulation sanguine, comme d'autres éléments du tissu qui sont évacués par le sang ou la lymphe.
De multiples facteurs peuvent jouer un rôle : Elle peut varier en fonction de la perméabilité des vaisseaux sanguins (les personnes âgées seraient plus à risque) ou de facteurs de surface/volume (les jeunes hommes/les athlètes pourraient être plus à risque).
Les vaccins traditionnels n'ont jamais transfecté/infecté de cellules en si grand nombre, de sorte qu'une fuite n'a jamais été envisagée ou identifiée comme un problème à considérer... il s'agit néanmoins d'un détail essentiel qui a été négligé dans la conception de ces vaccins.
En fonction de la dose totale échappée et de sa répartition, concentrée ou distribuée, en fonction aussi de la qualité du produit (une qualité médiocre a-t-elle possiblement sauvé de nombreuses vies ? ), et de la répétition des doses (1,2,3 jusqu'à 4 doses ?), les scénarios peuvent varier radicalement :
Tout d'abord, le système circulatoire - les vaisseaux sanguins - est en première ligne de ces fuites diffuses du vaccin dans le sang. Les parois endothéliales sont la principale surface que les NP peuvent transfecter. Les dommages seraient totalement invisibles, diffus, mais peuvent durer des mois car la régénération des cellules des vaisseaux est un processus long.
Comme tout le sang y circule de manière concentrée, certains organes finiraient par accumuler plus de “coups” que d'autres, notamment le coeur et le foie. Et en effet, nous sommes témoins de nombreux effets indésirables cardiaques et hépatiques.
D'autres organes plus distribués mais très vascularisés, comme les poumons, le cerveau, les reins, la moelle osseuse, les ovaires, pourraient également être touchés, mais de manière légèrement plus répartie et diffuse.
Certains organes ne se régénèrent pas, comme le coeur (la myocardite n'est pas bénigne, une fois les myocytes détruits, on ne peut plus les régénérer) ou prennent plus de temps comme les cellules endothéliales. Il peut donc y avoir un effet de condensateur par lequel chaque injection affaiblit l'organe, ou aggrave la situation, augmente les inflammations, jusqu'à ce qu'il craque : provoquant un caillot de sang, un AVC ou une crise cardiaque.
"Immuno-thrombocytopénie thrombotique induite par un vaccin causant une forme grave de thrombose veineuse cérébrale avec un taux de létalité élevé : Une Série de cas"
Comme beaucoup d'entre vous le savent, le risque de myocardite augmente après la deuxième injection. Une hypothèse est que les NP migrent progressivement vers la circulation sanguine, ce qui signifie qu'elles ne transfecteraient pas de matière concentrée, mais se diffuseraient dans tout le corps. Cela correspond à l’observation de l'élévation des D-dimères constatée chez de nombreux patients après la vaccination.
Au-delà du fait que ces vaccins sont totalement inefficaces, les mécanismes par lesquels ils nuisent aux gens ne sont pas aussi compliqués qu'on le pense. Les Danois ont apparemment réduit le risque de 60% en imposant la technique d'aspiration. On peut se demander ce que les autres agences de santé publique ont fait depuis ! Une autre alerte du CDC a aussi souligné que les personnes malades avec des vaisseaux sanguins fuyants constituaient un problème. Combien de personne âgées ont-elles été injectés malgré ce risque?
En admettant une fois de plus le risque causé par l'administration de ces produits par voie intraveineuse. On se demande comment un responsable peut continuer à vacciner des milliards de personnes ? Comment les autorités pouvaient-elles être certaines que ces produits ne fuiraient pas ? Elles ne le pouvaient pas. Elles n'ont jamais pu le croire. Il était excusable de ne pas comprendre l'implication de la transfection de ces vaccins. Il est inexcusable d'avoir nier la réalité pendant plus d'un an. Ces responsables seront convoqué par des juges pour ces crimes. Je ne voudrais pas être leurs avocats...
J'espère que cette lecture aura été intéressante. N'hésitez pas à partager la "Série Covid Myth Buster (Version Française)". Veuillez m’excuser d'avoir été aussi long...
Ci-dessous l'apaisante vidéo Sony des balles rebondissantes dans les collines du San Francisco de mon enfance pour me faire pardonner.
Amitiés. Marc
Pour simplifier, j'utilise le même terme NP (nanoparticule) pour les nanoparticules lipidiques et les vecteurs viraux, qui sont de natures très différentes, mais qui finissent tous deux par transformer la cellule en une usine de production de pointes-Spike et déclenchent également la destruction des cellules transfectées par le système immunitaire.
AstraZeneca pourrait être aussi élevé que 150 trilliards de protéines produites dans certaines conditions.
Infectées pour AstraZeneca puisque c’est un virus, ou transfectées pour une nano particule contenant de l’ARNm.
En 3 doses
Marc Girardot félicitations pour l´excelent article.
Mais j´aimerais vous faire part de 2 considerations suplementaires :
1) Si une cellule est transfectée et commence a produire des protéines de pointe, n´est il pas possible que ces protéines envaissent les cellules voisines par transmission directe de celule a cellule ? Dans ce cas les domages serait baucoup plus importants vû que les cellules voisines a la cellule transfectée pourrait également être detruites par notre systeme immunitaire.
2) Est il possible que l´ARNm transfecte une plaquette, et cela pourrait il expliquer les cas de thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par les vaccins ?