Les hôpitaux n'auraient jamais pu absorber les taux de mortalité absurdes qu'on nous a vendus
Mythe du Taux de Létalité - A ceux qui vous disent que le taux de létalité est proche de 1%, dites-leur que cela correspond à un taux d'hospitalisation impossible de 17%!
Dans ce nouvel article, je souligne l'importance centrale du taux de létalité de l'infection COVID (IFR). En mettant en évidence l'absurdité de l'utilisation élevée des hôpitaux résultant d'un IFR élevé, je démontre que l'IFR du COVID19 n’aurait jamais pu être de l'ordre de 1% ou plus, mais plus proche de celui de la grippe à 0,1%. Les fermetures, les masques, la vaccination forcée, la destruction de l'économie et de la vie sociale pendant 2 ans... rien n'était justifié. Il est temps de reconnaître ce fait.
La semaine dernière, j'ai (re)publié sur Substack mon article et ma modélisation de mai 2020 sur New York, dans lequel je remettais en question le récit dominant des médias et des autorités de santé selon lequel le taux de mortalité lié aux infections était supérieur à 2 %.
Pour ceux d'entre vous qui n'ont pas lu l'article : J'avais estimé que le taux de létalité de l'infection du SRAS-COV-2 - à l’époque - était proche de 0,1%.
Mon bon ami, le Docteur Michael Yeadon, a gentiment commenté que "les agences du gouvernement britannique ont récemment estimé l'IFR à un peu moins de 0,1%" et que le gouvernement britannique n'a pas changé ses politiques pour autant... Un autre lecteur coopératif a signalé ce tweet de septembre du député Anglais Steve Baker qui le confirme.
Au printemps 2020, j'ai vérifié la validité de ce chiffre et l'ai validé avec des données réelles de New York. Comme vous pouvez l'imaginer, les retours ont été très agressifs... J'ai depuis abordé longuement l'IFR dans un autre article intitulé “A novel perspective on a not so novel virus”, en soulignant le rôle de la protection préexistante par immunité croisée et le rôle des asymptomatiques dans ce chiffre très bas, mais aujourd’hui je voudrais prendre un angle différent.
Je veux enterrer définitivement cette idée absurde d’un IFR élevé. Il est temps que la proportionnalité redevienne un principe clé de notre vie publique.
Démontrer par l'absurde l’absurdité d’une létalité élevée
La crise du COVID est totalement absurde depuis le début. On nous a baladé - nous, les Conspirationistes ou Team Reality (choisissez :-)) - d’une chasse au Dahu à l'autre: efficacité du confinement, du masque, du vaccin, etc…
Mais la justification même de tout cela, une létalité curieusement élevée, n'a jamais été remise en question, car les medias nous ont submergé par un flux constant de nouvelles apocalyptiques.
Franchement, je n'ai pas pu regarder la télévision tranquillement depuis, écœuré par le flot de sophismes idiots qui y est déversé.
Revenons donc à la réalité. Ces deux dernières années, beaucoup ont affirmé des chiffres absolument infondés sur le taux de mortalité élevé. Et beaucoup croient encore ces chiffres, la justification des sacrifices incroyables imposés à tout le monde...
Par exemple, Nicholas Brazeau et son équipe de l'Imperial College ont estimé l'an dernier un IFR de 1,15%. Il est intéressant de noter que ces "experts" auraient pu vérifier la justesse de leurs calculs à l'aide de données tangibles... ils ne l'ont jamais fait, volontairement, contribuant ainsi à la panique.
Permettez-moi de vous soumettre à un simple test de bon sens : l'incohérence du taux d'utilisation des hôpitaux qui en aurait découlé. C'est plutôt factuel, comme vous le verrez.
Au printemps 2020, environ 40 % des patients atteints d'une C19 grave mourraient généralement aux soins intensifs. Après un changement d'avis de l'OMS en juillet, les hôpitaux ont enfin commencé à donner des anti-inflammatoires aux patients et ont cessé de les intuber systématiquement... et à l'automne, ce chiffre est redescendu à 20 % grâce à l'amélioration des soins.
En partant de l'estimation de Brazeau, on peut recalculer le "risque d'aller en réa" et le "risque d'hospitalisation".
Si un tel IFR élevé était vrai, en découlerait :
un "risque d'aller en réa” entre 3 et 6 % dans la population générale
[1,15 % divisé soit par 41 %, soit par 19 %]
ainsi qu’un "risque d'hospitalisation" entre 11% et 24%!
[3 % et 6 % divisés par 25 %]
Ce serait en effet très effrayant. Mais la question est : Qu’en a-t-il été ? Etait-ce même possible ?
Parmi vos amis infectés par le COVID en 2020, est-ce que 1 sur 4, voire 1 sur 10, a fini à l'hôpital ? J'ai peut-être de la chance, mais je ne connais qu'un ami qui a été hospitalisé, et il n'est toujours pas sûr à 100% que c'était le COVID, et ca n’était même pas en 2020 ! Mais je suis d'accord pour dire que c'est une preuve anecdotique.
Voici une autre référence :
Nous savons, grâce à l'essai sur les anticorps monoclonaux de Regeneron, que seuls 4 % des adultes infectés "à risque" et non traités âgés de plus de 50 ans ont fini à l'hôpital. Donc, si l'on tient compte du très faible risque en dessous de 50 ans et des personnes en bonne santé au-dessus de 50 ans, le "risque d'hospitalisation" est beaucoup plus proche de 1 % que de 24 % !
Une autre façon de vérifier si les preuves anecdotiques et les données de Regeneron sont correctes est une preuve par l'absurde : Qu'est-ce qu'un IFR de 1,15% implique ?
Si l'on considère que le Royaume-Uni a été touché à 20 % par le SRAS-COV-2 en 2020, cela signifierait qu'environ 2,4 millions de personnes ont été hospitalisées selon l'estimation de l'équipe de l'Imperial College ! Aplatir la courbe … 😳
Le séjour moyen étant de 2 semaines, cela équivaudrait à 33 millions de jours d'hospitalisation pour le COVID , soit 18 fois ce que NHS England a enregistré en 2020 (1,8 million de jours de soins)
Au plus fort de la crise, il est clair que les 33 millions de jours passés à l'hôpital n'auraient laissé aucune place aux accidents de voiture. Pas de place pour les accouchements. Pas de place pour le cancer. Pas de place pour la santé mentale. C'est complètement absurde.
Même en corrigeant pour les nombreux décès malheureux à domicile ou dans les maisons de retraite, ça doit nous questionner "CA NE TIENT ABSOLUMENT PAS LA ROUTE" !
L'Imperial College s'est totalement discrédité - ils ne sont pas les seuls - ils se sont trompés d'un facteur 10 a minima !
Pour mémoire:
Je me souviens avoir lu un audit du NHS à la fin du mois d'août 2020 dans lequel 87 % des patients sous Covid étaient étiquetés à tort COVID. Là encore, les patients Covid étaient surestimés par un facteur de 10. Des accidents de moto ou des crises cardiaques étaient étiquetés COVID, et une très grande majorité des patients étaient des patients souffrant d'autres pathologies…
Les données du NHS montrent qu'en 2020, l'utilisation des lits en Angleterre était de 86 %, avec 111 321 lits occupés, dont 16 068 lits occupés pour des "maladies mentales"...
En France, selon les chiffres de l'ATIH, quelque 272 mille patients COVID ont été hospitalisés en 2020 (soit 11% du nombre que l’on déduirait de l’IFR d’Impérial pour une population similaire), et ne représentaient que 2% des patients et 5% des journées totales occupées ! !! Ayant vécu au Royaume-Uni, je ne peux pas croire qu'il y aurait une différence1 majeure entre le Royaume-Uni et la France.
En d'autres termes, le calcul d'un IFR de 1% est totalement absurde, et est au moins surestimé d'un facteur 102. Nous revenons à un IFR inférieur à 0,1% !
Un ratage aussi gigantesque n'est pas une coïncidence. Malheureusement, il ne peut être que malveillant pour nourrir la panique et la dystopie dans laquelle nous vivons depuis 2 ans maintenant. Et des personnes devront être rendues responsables d’avoir alimenté cette panique volontairement, terrifiant les familles, maltraitant nos anciens et nos enfants.
Il est assez inquiétant de constater les mesures disproportionnées prises depuis 2 ans par rapport à ce faible taux de mortalité : les confinements qui détruisent des familles, les fermetures d'entreprises qui provoquent des faillites, l'isolement déchirant de nos personnes âgées, la possibilité à jamais perdue de dire un dernier mot de réconfort à nos proches, l'intimidation honteuse de nos enfants, le refus de médicaments éprouvés, les maladies graves non traitées, les vaccinations forcées... sans parler des centaines de milliards d’Euros gaspillés et de la ruine économique à venir. Nous devrons nous demander comment et pourquoi nous avons perdu toute humanité pour une grippe.
Il est clair que notre civilisation est plus fragile que nous le pensions tous, elle a toujours été toujours sur le point de s'effondrer, à la merci de l'orgueil démesuré des hommes, de ses intérêts égoïstes et de la panique de la foule.
Je ne suis pas sûr que nous soyons encore sortis de l'auberge, mais des signes positifs apparaissent...
au-delà du facteur obésité qui est plus élevé au Royaume-Uni
Pour mémoire, 0,057% d'IFR serait très proche du taux de mortalité par cas à Singapour pendant toute l'année 2020
Cette démonstration est convaincante, mais sa clarté pourrait être améliorée par une modification de présentation. Le passage clé est le suivant :
«« Si un tel IFR élevé était vrai, en découlerait :
- un "risque d'aller en réa” entre 3 et 6 % (1) dans la population générale,
- ainsi qu’un "risque d'hospitalisation" entre 11% et 24% (2) »»
Or, la nécessité d’aller lire les Notes et et 2 à la fin du texte avant de revenir à ce passage ne favorise pas la compréhension immédiate de cet argument. Il serait préférable d’intégrer les calculs qu’impliquent les Notes 1 et 2 directement dans le corps de ce passage.
Le lecteur moyen risque de décrocher dans ce passage-clé, ne voyant pas immédiatement d’où proviennent les pourcentages.