Les vaccins peuvent-ils être dangereux pour les femmes enceintes, les bébés et la reproduction humaine ? - Un mécanisme d'action crédible
Mythe sur la sécurité des vaccins - Parfois, les vaccins peuvent endommager les barrières endothéliales hémato-tissulaires, entraînant des drames de grossesse et l'infertilité
Ceux d'entre vous qui ont suivi mes articles ces derniers mois savent que j'ai développé, et - je crois - validé, une théorie unifiée sur la toxicité des vaccins, une théorie qui explique un certain nombre d'événements indésirables liés à l'injection de vaccins anti-COVID , au moins le tri transfectant. Aujourd'hui, je veux partager avec vous un autre "Aha moment" - conforme à ma théorie - que j'aurais dû avoir depuis longtemps. Je m'excuse d'être un peu lent à penser...
Je tiens à remercier les lecteurs qui ont partagé leurs histoires, m'ont interpellé par leurs commentaires et m'ont encouragé à aller au-delà des preuves personnelles pour découvrir de nouvelles perspectives sur cette crise de Covid.
Encore merci aux généreux contributeurs qui ont choisi l'abonnement payant. C'est très apprécié dans les circonstances actuelles.
addendum de juin 2022 : Ceci est un commentaire du Dr Byram Bridle, professeur d'immunologie, à propos de cet article, vous savez donc que vous ne perdrez pas votre temps.
L'été dernier, un ami britannique m'a contacté. Sa femme était enceinte de jumeaux et ils avaient des sentiments mitigés au sujet de la vaccination. Après avoir lu mon article de Biznews sur l'immunité préexistante, le couple cherchait des conseils me mettant de facto dans une position très difficile. A l'époque, les alertes de pharmacovigilance étaient au rouge depuis près de 8 mois… et personne n'avait rien fait ! Même si j'ai compris que le système vasculaire était touché, je n’avais pas encore mis le doigt sur le mécanisme d'action qui déclenche l'effet domino délétère dans certains cas et pas dans d'autres.
Aujourd'hui, je vais expliquer en détail pourquoi la vaccination d'une femme enceinte est une erreur et peut-être dangereux.
Une théorie universelle sur la toxicité des vaccins transfectants
Permettez-moi de résumer mes conclusions sur la toxicité du vaccin Covid pour ceux qui n'ont pas lu mes articles précédents. Ceux qui connaissent ma théorie peuvent sauter cette section.
Pour mémoire, cela s'applique non seulement aux vaccins ARNm/ADN, mais aussi aux vaccins atténués plus traditionnels. C'est relativement simple :
la grande majorité des nanoparticules vaccinales se retrouvent dans le système circulatoire . Nous le savons grâce aux documents de Pfizer . Il n'y a aucune raison apparente de croire que ce serait spécifique au BNT162b2 (Pfizer). Factuel ✔️
la grande majorité des cellules pénétrées par les éléments vaccinaux seront donc des cellules endothéliales recouvrant les parois de nos vaisseaux sanguins, simplement parce que les particules sont en grande partie piégées dans le système circulatoire.
Factuel✔️toutes les cellules transfectées seront inévitablement détruites par le système immunitaire ciblant la protéine de pointe ou des bouts de proteines , exprimés en dehors de ces cellules piratées . Factuel ✔️
cependant, s'il est injecté de manière appropriée dans le muscle, le muscle agira comme « une poche saline délivrant un médicament par voie intraveineuse », très progressivement, garantissant généralement1 une distribution homogène. Cela peut expliquer pourquoi beaucoup n'ont tout simplement aucun effet indésirable visible post-vaccin.
Factuel✔️la physiologie vasculaire du muscle deltoïde signifie inévitablement que des injections intraveineuses accidentelles occasionnelles sont inévitables - partielles ou complètes.
Factuel ✔️la dynamique dense des particules - suite à une injection intraveineuse par inadvertance - va modifier mathématiquement la carte des zones pénétrées, et donc concentrer les attaques immunitaires dans une ou plusieurs zones spécifiques. Cela se produit probablement dans les tout premiers instants après l'injection, avant toute dilution significative.
Factuel ✔️les coups concentrés perturberont l'endothélial local, et la réparation pourra devenir impossible déclenchant un processus délétère , ou n’être qu’approximative ne réparant que partiellement les fonctions endothéliales. Selon l'emplacement et l'étendue des dégâts, le résultat sera très variable.
Fait ✔️
trois domaines génériques sont susceptibles d'être impactés, entraînant chacun des pathologies différentes :
si dans l'aorte ou les grosses artères : destruction de la paroi endothéliale, coagulation, destruction progressive des cellules musculaires lisses, rupture artérielle consécutive, hémorragie… et/ou coagulation probable en aval.
si dans les petites artères et capillaires : coagulation, nécrose et inflammation : cœur, poumons, foie, rate… perturbant partiellement ou totalement le fonctionnement de l'organe : myocardite, embolie pulmonaire, hépatite…voire défaillance d’organe(s).
si dans les barrières hémato-tissulaires : comme expliqué dans l'article de la semaine dernière concernant la barrière hémato-encéphalique (BHE), la destruction des parois endothéliales spécialisées affaiblira fortement la barrière de protection en laissant passer les composants toxiques (albumine...) et les cellules immunitaires en grande quantité... déclenchant des processus délétères plus ou moins dépendants du temps.
De nombreuses barrières protectrices existent dans tout le corps - par exemple, dans la rétine , l'oreille , le thymus ( où se spécialisent les lymphocytes T ) et la moelle osseuse ( d' où proviennent toutes les cellules immunitaires )… et elles coïncident avec de nombreux lieux d'effets indésirables et de pathologies dont nous avons été témoins tels que cécité, vision floue, acouphènes, déficit immunitaire acquis transitoire…
Les barrières existent pour une bonne raison…
Même un enfant sait que les barrières ont un but protecteur : soit éviter de tomber d’une falaise ou dans une piscine, éviter de rouler sur une voie devant un train… ou éviter une bousculade dans une foule…
L’Evolution n'a pas inventé un grand nombre de barrières spécialisées juste pour le plaisir. Ces barrières dans notre corps empêchent toujours des phénomènes toxiques de se produire tout en fournissant les nutriments optimaux quand et où ils sont nécessaires.
Plusieurs barrières hémato-tissulaires critiques jouent un rôle essentiel dans notre corps en filtrant les éléments toxiques, en sélectionnant des nutriments spécifiques à des moments précis et en limitant également les cellules immunitaires qui peuvent être délétères à certains endroits, notamment dans le système de reproduction.
La dégradation des barrières hémato-tissulaires a nécessairement de graves conséquences sur la reproduction
Vous ne voulez pas que les lymphocytes T de votre mari se mélangent avec ses spermatozoïdes , ou que les lymphocytes T de votre femme se mélangent avec ses ovocytes … vos chances d'avoir un couple fertile chuteront probablement, sinon ces barrières étroites n'existeraient probablement pas.
Les cellules reproductrices expriment des gènes uniques qui sont évidemment rarement rencontrés par le système immunitaire. En tant que tels, ils peuvent être perçus par le système immunitaire comme des menaces. Par exemple, hTERT est un gène exprimé pour réparer les télomères de sorte que nos bébés commencent leur vie avec une génétique parfaite. hTERT est récupéré dans 85% des cancers, et le système immunitaire réagit régulièrement à cet antigène… Autrement dit, c'est « vous », mais votre système immunitaire pense que c'est « étranger » car il n'a jamais rencontré cette partie de vous, et ça peut finir par détruire vos cellules reproductrices.
De toute évidence, si la barrière hémato-tissulaire est brisée, des cellules immunitaires intruses se retrouveront là où elles ne devraient pas être et feront inévitablement leur travail, déclenchant la destruction des cellules reproductrices .
Les systèmes reproducteurs des femmes et des hommes sont protégés par cinq barrières endothéliales :
chez les femmes :
la barrière hémato-folliculaire (BHF) protège les follicules en développement dans l'ovaire : elle est donc fondamentale pour la fertilité de la femme
la barrière hématoplacentaire (BHP) nourrit et protège le fœtus en croissance ; il doit s'adapter à mesure que le placenta se dilate simultanément avec le fœtus
la barrière sang-lait (BSL) protège la bonne santé du bébé en contrôlant la qualité du lait fourni
chez les hommes :
la barrière hémato-testiculaire (BHT) et la barrière hémato-épididymaire (BHE) protègent les spermatozoïdes notamment du système immunitaire
S'il faudra du temps pour évaluer les véritables dommages causés à la fertilité de la population par ces vaccins et leurs attaques contre les barrières endothéliales, on ne peut qu'être horrifié d'admettre que déjà aujourd'hui aux États-Unis :
9% des hommes et 10% des femmes sont stériles
Comme indiqué ci-dessus, les vaccins atténués traditionnels pénètrent également dans les cellules, même s'ils ne les piratent pas pour produire un antigène. Ainsi, les événements indésirables qui apparaissent plus visiblement aujourd'hui lorsque toute une pyramide des âges est vaccinée pourraient bien s’être produits dans le passé - invisibles de tous et de la communauté médicale - lorsque la vaccination est effectuée une classe d'âge à la fois... pendant des décennies.
L'équité relative en matière d'infertilité entre les sexes est très surprenante pour moi étant donné la différence de nos systèmes reproducteurs. Cela pourrait être interprété comme une confirmation - ou du moins une hypothèse intrigante à étudier - que cette perte de fertilité soit - pour tout ou partie - induite par les vaccins.
En effet , la transfection des vaccins induira occasionnellement des attaques immunitaires contre les barrières de protection des ovocytes et des spermatozoïdes , expliquant peut-être les taux d'infertilité en plein essor - et la baisse du nombre de spermatozoïdes - ces dernières décennies.
L'explosion des maladies neurodégénératives et les problèmes de fertilité croissants sont-ils chacun une face différente d'une même médaille : les dommages endothéliaux des vaccins sur-prescrits ?
Le fait que 42% des femmes interrogées après la vaccination contre le Covid semblent avoir eu une augmentation des saignements menstruels après la vaccination contre le Covid est révélateur d'un problème de proportion massive. Espérons que seule une petite partie sera finalement liée au vaccin…
Une question vient alors à l’esprit: À l'avenir, 50 % des couples auront-ils des difficultés à devenir parents ?
Pourquoi la vaccination des femmes enceintes peut être dangereuse pour le fœtus
De nombreux médecins, autorités sanitaires et médias grand public ont poussé de manière agressive pour la vaccination des femmes enceintes au cours de l'année écoulée. Franchement, quand on considère la nature sensible de la grossesse, les chances de Covid et les enjeux qui définissent la vie, c'est le signe d'une société véritablement dystopique. Où est passé le principe de précaution ?!
Considérant que le placenta agit à la fois comme un cocon nourricier hospitalier pour le futur bébé et comme une protection adaptative, il est bien évident qu'une femme enceinte ne devrait jamais être vaccinée compte tenu des possibles conséquences néfastes de la transfection endothéliale des vaccines2.
Pendant toute la grossesse, le placenta se dilate avec le fœtus, une infrastructure nourricière de vaisseaux sanguins se développant et s'adaptant progressivement pour accompagner la propre croissance accélérée du bébé. Nous savons pertinemment que ces vaccins peuvent perturber non seulement la protection de la barrière hémato-placentaire, mais aussi le flux sanguin à travers la coagulation du système vasculaire!
Toute interruption ou entrave au développement normal du placenta aura de graves répercussions sur le bébé. C'est comme faire la guerre au fœtus en restreignant son approvisionnement alimentaire et en risquant de détruire sa maison douillette… Malheureusement, nous assistons à de nombreux signes sinistres qui confirment la réalité de ce risque :
Je me souviens d'un échange récent sur Substack avec une grand-mère qui m'a dit que sa fille s'était fait vacciner lorsqu'elle était enceinte et que le bébé était né sous-développé . Apparemment, les vaisseaux sanguins étaient restreints et n'avaient pas suffisamment nourri le bébé… cela correspond tout à fait aux dommages de la paroi des vaisseaux sanguins. Et cela ne peut avoir que de graves conséquences à vie.
De multiples articles à travers le monde commencent à apparaître mettant en évidence des niveaux élevés de fausses couches et de décès néonatals chez les femmes enceintes vaccinées.
Certains obstétriciens et sages-femmes commencent à s’exprimer :
" J'ai vu beaucoup, beaucoup, beaucoup de complications chez les femmes enceintes, chez les mères et chez les fœtus, chez les enfants, la progéniture, la mort fœtale, les fausses couches, la mort du fœtus à l'intérieur de la mère." Dr James Thorp, MD certifié en obstétrique et gynécologie
Ma chère amie le Dr Jessica Rose a eu la gentillesse de nous préparer les données de pharmacovigilance du VAERS, et a trouvé 1 615 avortements spontanés au 29/04/2022 aux USA . Le facteur de sous-déclaration est susceptible d'être très élevé. Un facteur de sous-déclaration de 41 représente plus de 66 000 avortements spontanés en moins d'un an.
Au-delà du simple fait qu'une jeune femme en bonne santé ne souffre pas de Covid sévère, et donc la vaccination n'est absolument pas justifiée , il est bien évident que risquer des dommages endothéliaux induits par le vaccin pendant la grossesse est une folie absolue .
En tant que femme enceinte, vous ne pouvez pas manger de Bleu, mais vous pouvez vous faire injecter de 13 à 50 milliards de nanoparticules lipidiques - à plusieurs reprises - destinées à pirater des cellules saines, à produire d'innombrables protéines Spike toxiques pendant que votre corps subit la transformation biologique la plus incroyable et la plus sensible de sa vie: la grossesse…
Nous avons tendance à oublier que la grossesse est une entreprise majeure, un effort Herculéen. Nous oublions qu'il y a quelques décennies à peine, les futures mères mouraient régulièrement en couches. Ajouter le danger de ces vaccins semble diaboliquement injuste, et très honnêtement, c'est déchirant. Sommes-nous devenus des barbares ?
Tout médecin raisonnablement sain d'esprit aurait dû interdire spécifiquement ces injections aux femmes enceintes. Les médecins, les autorités sanitaires et les médias grand public portent tous une responsabilité inoubliable dans la mort injustifiée de dizaines de milliers de bébés promis à une vie de joie et de bonheur avec leurs parents et leurs frères et sœurs.
Ayant été témoin avec admiration et bonheur absolus de la naissance de quatre enfants merveilleux, je trouve que la perte d'un enfant est l'une des plus grandes injustices de la vie. Je trouve atrocement injuste de priver une femme ou un homme de la capacité de partager son amour et de l'incarner dans un petit être vivant.
Où en sommes-nous en tant que civilisation pour tuer nos bébés ? que nous rendons nos jeunes stériles ? Que sommes-nous devenus ?
Je vais arrêter pour ce soir. Je me sens assez impuissant en écrivant ces lignes pour penser à ce que nous avons fait en tant que société. Veuillez m'excuser. Tuer nos enfants, c'est tuer l'espoir. Ils sont notre raison d'être . Ils sont notre innocence. Ils sont une joie infinie.
Cela me rappelle ma petite fille me demandant un jour où j'étais sombre : « Viens danser avec moi, mon Prince ! et illuminant instantanément mon cœur…
Amicalement, Marc
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Les nanoparticules vaccinales injectées directement dans une veine joueront littéralement au flipper avec votre système vasculaire et auront une très forte probabilité de faire des ravages sur votre santé n’importe où…
des exceptions sont également inévitables lors de l'injection de milliards de personnes…
Les particules de vaccin pénètrent dans les cellules saines = transfection = destruction par le système immunitaire
" L’Evolution n'a pas inventé un grand nombre de barrières spécialisées juste pour le plaisir." Divine évolution ! 🤔 néanmoins merci pour vos recherches. Gilbert
j'aimerais savoir si le vaccin reçu par le futur père (et pas la mère) peut engendrer les mêmes problèmes au cours de la grossesse ? Le spematozoïde a-t-il u rôle dans le bon déroulement de la grossesse, notamment le bon fonctionnement du placenta ?